Soul Kitchen (2009)

SYNOPSIS

Spezialpreis der Jury bei den 66. Internationalen Filmfestspielen von Venedig.

Zinos, ein junger Gastwirt aus Hamburg, macht eine schwierige Zeit durch. Seine Freundin Nadine ist nach Shanghai gegangen. Die Gäste seiner Kneipe Soul Kitchen verweigern sich der Feinschmecker-Küche seines neu eingestellten Kochs, der verhaltensgestört, aber talentiert ist. Und Zinos hat Rückenprobleme. Er beschließt, Nadine in China aufzusuchen und vertraut die Gaststätte seinem Bruder Illias an, der gerade frisch aus dem Gefängnis entlassen wurde. Beide Entscheidungen erweisen sich als verheerend: Illias verliert das Lokal im Glücksspiel an einen zwielichtigen Immobilienhändler und Nadine hat einen anderen. Schaffen es die zwei Brüder jedoch, sich zu einigen und zusammen zu arbeiten, haben sie vielleicht noch eine Chance, das Soul Kitchen zu retten.

SYNOPSIS

Prix spécial du jury de la 66e Mostra de Venise. Zinos, jeune restaurateur à Hambourg, traverse une mauvaise passe. Sa copine Nadine est partie s’installer à Shanghaï. Les clients de son restaurant, le Soul Kitchen, boudent la cuisine gastronomique de son nouveau chef, un talentueux caractériel, et il a des problèmes de dos ! Zinos décide de rejoindre Nadine en Chine, et confie son restaurant à son frère Illias, fraîchement sorti de prison. Ces deux décisions se révèlent désastreuses : Illias perd le restaurant au jeu contre un promoteur immobilier véreux, et Nadine a quelqu’un d’autre dans sa vie ! Mais les deux frères ont peut-être encore une chance de sauver le Soul Kitchen, s’ils parviennent à s’entendre et à travailler en équipe. (Télérama, 20.03.2010)


Mehr Infos zum Film / Plus d’infos sur le film: Imdb – The Internet Movie Database


Kinotrailer / La bande annonce

____________________________________________________________________________________

Filmrezensionen in der deutschen Presse / Critiques de films de la presse allemande


Messer in der Seelenküche

[…]Der Vorteil von Akins Ansatz liegt in seiner herzerwärmenden Antiästhetik. Der virile Prollcharme seiner Protagonisten, die ewig abgeranzten Kaschemmen mögen nicht jedermanns Sache sein. Aber Akin widersetzt sich ebenso beiläufig wie nachhaltig allen gängigen Repräsentationserwartungen.[…]

In erster Linie feiert Fatih Akin in „Soul Kitchen“ seine Schauspieler, die seine Freunde sind, das wilde Leben und Hamburg von unten. […] (der Freitag, 23.12.2009)

Un couteau dans l’âme culinaire

[…] L’avantage de l’approche d’Akin vient de son anti-esthétique chaleureuse. Le charme prolo viril de ses protagonistes et les éternels bouis-bouis pourris ne peuvent pas être du goût de tout le monde. Mais Akin résiste tout aussi incidemment que durablement aux attentes représentatives courantes. […]

En premier lieu Fatih Akin célèbre dans « Soul Kitchen » les acteurs qui sont ses amis, la vie sauvage et le Hambourg populaire. […]


Hiergeblieben!

Akin spekuliert in seinem neuen Film darauf, dass das Kolorit stimmt, während sich seine Story so durchmogelt. Er muss darauf hoffen, dass der Zuschauer sich mit hohem Tempo von Gag zu Gag, von Einfall zu Einfall, Spruch zu Spruch mitreißen lässt, denn wenn man an Soul Kitchen den Maßstab einer Kiezgeschichte aus dem gelebten Leben anlegte, würde über dem Film der Blues ausbrechen wie nach einer Nacht mit öligen, bunten Schnäpsen. […]

Irgendwann in der Mitte finden wir, dass der Film aufgeregt und doch irgendwie müde ist. Er findet keinen Rhythmus. Er wollte eine Geschichte der Liebe zwischen Männern und Frauen sein, zwischen Brüdern, der Liebe zum Essen, er wollte eine Aufsteigergeschichte erzählen, über Jugendkultur, über Krankheit und Heilung, Oben und Unten, Gut, Böse. Und dann ist er kaum noch etwas von alldem, sondern eine episodenreiche deutsche Comedy. (Zeit, 25.12.2009)

Restez-ici!

Dans son nouveau film, Akin se repose sur la bonne atmosphère, pendant que son histoire se débrouille tant bien que mal. Il doit compter sur le fait que le spectateur se laisse enthousiasmer à grande vitesse d’un gag, d’une idée et d’une parole à l’autre. Car si l’on concevrait « Soul Kitchen » d’après l’histoire d’un quartier populaire de la vraie vie, le spleen se déchaînerait sur le film comme au lendemain d’une soirée d‘ivresse huileuse. […]

Quelque part au milieu du film, celui-ci nous semble mouvementé et cependant épuisé d’une certaine manière. Il ne trouve pas son rythme. Le film se veut une histoire d’amour entre hommes et femmes et entre frères, une histoire d’amour pour la nourriture. Il veut raconter l’histoire d’une ascension sociale, parler de la culture des jeunes, de la maladie et de la guérison, du haut et du bas, du bien et du mal. Finalement il n’est à peine rien de tout cela, mais seulement une comédie allemande pleine d’épisodes.

___________________________________________________________

Critiques de films dans la presse française / Filmrezensionen in der französischen Presse


„Soul Kitchen“ : la cuisine à l’huile, c’est pas difficile

[…]Sauf le respect que l’on doit à Fatih Akin, son film – sa première comédie depuis qu’il est devenu célèbre – ressemble un peu au premier menu (…) de Soul Kitchen. Les ingrédients ne sont pas tous recommandables (…), mais le résultat est tout à fait satisfaisant pour qui est venu chercher une raison de sourire d’une époque qui en offre peu.“ […] Tous sont comme des poissons dans l’eau dans les paysages de Hambourg. C’est finalement la ville qui fait basculer le film du bon côté. Non seulement Akin se sert avec habileté des vues postindustrielles d’une ville (dans laquelle on a peine à reconnaître le décor de L’Ami américain que Wim Wenders y tourna il y a plus de trente ans,) mais il analyse avec ironie et justesse le processus qui a présidé à sa transformation. […] (Le Monde, 16.03.2010)

“Soul Kitchen”: Mit reichlich Butter kochen is’ nich‘ schwer

[…] Bei allem Respekt für Fatih Akin, sein Film – die erste Komödie seitdem er sich als Regisseur einen Namen gemacht hat, ähnelt ein wenig dem ersten Gang […] in “Soul Kitchen”. Nicht alle Zutaten sind zu empfehlen […], aber das Ergebnis ist durchaus zufrieden stellend für den, der einen Anlass zur Freude sucht in einer Zeit, die derer wenige zu bieten hat. […] Alle Darsteller fühlen sich ganz in ihrem Element vor dieser Hamburger Stadtlandschaft. Letztlich ist es die Stadt, die dem Film seine guten Seiten beschert. Akin bedient sich nicht nur geschickt der postindustriellen Ansichten einer Stadt (in der man nur mit Mühe die Bilder aus dem Film „Der amerikanische Freund“ von Wim Wenders wieder erkennt, den er hier vor über 30 Jahren drehte), auch analysiert er mit Ironie und Präzision den Prozess, der zu ihrer Transformation geführt hat. […]


Soul Kitchen, joyeux melting-pot

[…]Un promoteur immobilier sans scrupules, une contrôleuse du fisc, un masseur surnommé „le briseur d’os“ et pas mal d’autres aux origines turques, grecques ou allemandes s’immiscent dans ce joyeux melting-pot hambourgeois. Du coup, outre une réjouissante comédie à la bande musicale truffée de succès soul et rock, on peut voir dans ce divertissement un tacle aux identitaires nationaux de tout poil. De la part de Fatih Hakin, ce n’est pas innocent. (Express, 16.03.2010)

Soul Kitchen, ein vergnügter Schmelztiegel

Ein skrupelloser Immobilienhai, eine Steuerprüferin, ein Masseur mit dem Spitznamen “Der Knochenbrecher” und etliche andere Figuren mit türkischen, griechischen oder deutschen Wurzeln vermischen sich zu diesem vergnüglichen Hamburger Schmelztiegel. Daher kann man in diesem kurzweiligen Vergnügen außer einer unterhaltsamen Komödie mit einem von Rock- und Soulklassikern gespickten Soundtrack auch einen Angriff auf nationale Identitätsmuster aller Art sehen. Vonsseiten Fatih Akins keine harmlose Sache.


Soul Kitchen

[…]Et puis, dans le film, il n’est question que de ça: l’amitié, la communauté, face à la brutalité du monde. Car tout héros de comédie qu’il soit, Zinos, jeune restaurateur de Hambourg, reste un personnage à la Fatih Akin: un immigré turc, corps étranger dans une société qui, sans cesse, le rejette. Un type dérisoire et touchant, étrillé par la vie… […] Avec brio, Fatih Akin installe un suspense tragi-comique, mi-affectif, mi-policier, autour de la survie du précieux restaurant. […] (Télérama, 20.03.2010)

Soul Kitchen

[…] Und dann geht es in dem Film vorrangig um Freundschaft und Gemeinschaft angesichts einer Welt voller Brutalität.

Denn so heldenhaft Zinos auch ist, der junge Gastronom aus Hamburg bleibt eine Figur à la Fatih Akin: ein türkischer Einwanderer, ein Fremdkörper in einer Gesellschaft, die ihn unaufhörlich zurückweist. Ein lächerlicher und doch anrührender Typ, vom Schicksal gegeißelt… […] Mit Bravour baut Fatih Akin eine tragi-komische Spannung um die Rettung dieses kostbaren Restaurants auf, die teils gefühlsbetont, teils als Krimi daherkommt. […]

Denkanstöße / Pistes de réflexion

Fatih Akin versucht in seinem Film Heimat als sozialen, emotionalen Ort darzustellen. Was haltet ihr davon?

Dans son film, Fatih Akin essaie de représenter le pays d’origine comme un lieu social et émotionnel. Qu’est ce que vous en pensez ?

Steht für euch das Thema Multikulturalität im Vordergrund des Films ?

Est-ce que pour vous le sujet multiculturel est au premier plan du film ?

Bienvenue chez les Ch’tis / Willkommen bei den Sch’tis (2008)

SYNOPSIS

Pour faire plaisir à sa femme dépressive, Philippe Abrams, directeur à la Poste, fraude afin d’obtenir une mutation sur la Côte d’Azur. Mais il est démasqué: il sera muté à Bergues, petite ville du Nord. A sa grande surprise, il découvre un endroit charmant, une équipe chaleureuse, des gens accueillants, et se fait un ami : Antoine, le facteur et le carillonneur du village, à la mère possessive et aux amours contrariées. (Télérama, 23.02.2008)

SYNOPSIS

Um seiner depressiven Ehefrau eine Freude zu machen und seine Versetzung an die Côte d’Azur zu erwirken, unternimmt der Postdirektor Philippe Abrams einen Manipulationsversuch. Aber er fliegt auf und wird nach Bergues, eine kleine Stadt im Norden Frankreichs, versetzt. Zu seiner großen Überraschung lernt er einen charmanten Ort, eine herzliche Belegschaft und gastfreundliche Menschen kennen und schließt Freundschaft mit Antoine, dem Briefträger und Glöckner des Ortes, zu dem eine Besitz ergreifende Mutter und eine verhinderte Liebe gehören.


Plus d’infos sur le film: / Mehr zum Film auf: Imdb – The Internet Movie Database

La bande annonce française:



Der deutsche Kinotrailer:


________________________________________________________________________

Critiques de film de la presse française / Filmrezensionen in der französischen Presse



Bienvenue chez les Ch’tis

[…] Enfant du pays, Dany Boon […] insuffle suffisamment d’humanité et de tendresse à ses personnages pour rendre ces clichés digestes, voire savoureux. Et les utilise pour dégommer gentiment d’autres poncifs, côté obscur : le froid, la misère, la mine, l’alcoolisme et la grisaille supposée de l’existence au pays des terrils. […] Mais le film vaut surtout pour la verve de ses interprètes, Kad Merad et Dany Boon lui-même en tête, qui parviennent presque tous à être drôles et touchants, sans le cabotinage qui plombe souvent les comédies populaires. (Télérama, 23.02.2008)

Willkommen bei den Sch’tis

[…]Selbst aus der Region stammend, […] flößt Dany Boon seinen Figuren ausreichend Menschlichkeit und Zärtlichkeit ein, um die Klischees bekömmlich, ja sogar schmackhaft zu machen. Er nutzt sie, um auf freundliche Weise andere, düstere Gemeinplätze zu verdrängen:  Kälte, Armut, Bergbau, Alkoholismus und die Öde, die mit dem Leben im Land der Bergehalden assoziiert werden.  […] Besondere Geltung aber erhält der Film durch den Geist seiner Darsteller, in erster Linie Kad Merad und Dany Boon selbst, denen es fast allen gelingt, witzig und rührend zu sein fernab von der Affektiertheit, die solch volkstümlichen Komödien oftmals anhaftet.


Une mauvaise comédie pourtant fréquentable.

[…]Pourquoi, malgré sa nullité, Bienvenue chez les ch’tis reste-t-il infiniment plus fréquentable que les comédies rances de Jugnot ou Krawczyk ? C’est que chez Boon, le cliché est un point de départ vers une loufoquerie louable, et non une prison qui enserre les personnages dans un idéal passéiste et cocardier. C’est déjà ça. […] (Les Inrocks, 27.02.2008)

Eine schlechte, aber akzeptable Komödie

[…] Warum ist ‘Willkommen bei den Sch’tis trotz seiner Belanglosigkeit eindeutig empfehlenswerter, als die ungenießbaren Komödien von Jugnot oder Krawczyk[1]? Weil bei Boon das Klischee eine Ausgangsbasis für eine bewundernswerte Skurrilität bildet und kein Gefängnis, das die Figuren in einem rückwärtsgewandten, nationalchauvinistischen Ideal gefangen hält.

[1] Der französische Regisseur und Schauspieler Gérard Jugnot ist insbesondere bekannt geworden durch Filme wie „Les Bronzés“ (dt. „Die Strandflitzer“) oder „Les Choristes“ (dt. „Die Kinder des Monsieur Matthieu“). Gérard Krawczyk hat u.a. Regie geführt bei den Filmen „Taxi 2“und „Taxi 3“.


________________________________________________________________________

Filmrezensionen in der deutschen Presse / Critiques de film de la presse allemande


Willkommen bei den Sch´tis

[…]Willkommen bei den Sch´tis bietet Volkstheater für eine Gesellschaft unter Modernisierungsdruck. […]

Die technische Revolution ist hierher noch nicht vorgedrungen. Kunden werden am Schalter bedient und sind dem Beamten namentlich bekannt, von unpersönlichen Kommunikationsmitteln wie Internet und Mobiltelefon wird kein Gebrauch gemacht. […]

So malt der Film das Bild einer umgekehrten Globalisierung: Der von außen kommende, neue Postdirektor modelt nicht den Betrieb nach seinen Regeln um, sondern passt sich den Sitten der Einheimischen an – und alle werden damit glücklich. Dementsprechend gibt es auch keine sozialen Konflikte. […]

Zwar hat die deutsche Version das Problem der Synchronisation überzeugend gelöst („s“ wird als „sch“ gesprochen und umgekehrt). Eine wirkliche Übersetzung hätte wohl aber zum Sächsisch greifen und Willkommen bei den Ossis heißen müssen, um die Mischung an Vorurteilen und wirtschaftlicher Misere zu reproduzieren, die bei den Sch´tis für Lacher sorgt. […] (derFreitag, 30.10.2008)

Bienvenue chez les Ch’tis

[…] Bienvenue chez les Ch’tis offre une comédie populaire pour une société sous pression de modernisation. […]

La révolution technique n’est pas encore arrivée jusqu’ici. C’est au guichet qu’on s’occupe des clients dont les noms sont connus par l’employé. On ne fait pas usage de moyens de communication impersonnels comme l’Internet ou le portable. […]

Ainsi, le film dépeint l’image d’une mondialisation inversée : Le directeur de poste ne module pas l’entreprise d’après ses règles, mais s’adapte aux mœurs des gens du coin – et ainsi tous deviennent heureux. En conséquence il n’y a pas de conflits sociaux. […]

Certes, la version allemande a résolu le problème de doublage de façon convaincante (le « s » se prononce comme un « sch » et vice versa). Mais une vraie traduction aurait bien dû avoir recours au saxon et se nommer « Bienvenue chez les Ossis »[2] afin de reproduire le mélange de préjugés et de misère économique qui suscitent les rieurs chez les « Ch’tis ». […]

[2] Ossi: surnom des habitants de l’ex-R.D.A.


Französisches Regionalküchenprodukt

[…]Nicht nur der Harmlosigkeit und der Erwartbarkeit wegen ist „Willkommen bei den Sch’tis“ von einem komödiantischen Meisterwerk freilich weit entfernt. Dramaturgisch unrund, im Witzniveau uneben, nimmt der Film viel zu langwierig Anlauf, hängt zwischendrin immer wieder durch und ist überhaupt nur einmal so richtig komisch. […]

Weil der Film zu allen französischen Realitäten nur den oberflächlichsten Anschein eines Bezugs hat, gibt es auch für den wenig Landeskundigen kein Übertragungsproblem. […] (die tageszeitung, 30.10.2008)

Produit régional de la cuisine française

[…] Ce n’est pas seulement à cause de son innocence et son caractère prévisible que « Bienvenue chez les Ch’tis » est certainement loin d’être un chef-d’œuvre comique. Incomplet dans sa dramaturgie, inégal dans son humour, le film prend un élan de trop longue haleine. Il fléchit sans cesse et n’est qu’à un seul moment comique dans son ensemble. […]

Étant donné que le film n’a qu’une apparence superficielle d’un rapport avec la réalité française, il n’y a pas de difficulté de médiation même pour quelqu’un connaissant peu le pays. […]


Willkommen bei den Sch’tis

[…]Der Film ist eine Kreuzung aus Aufklärungsunterricht in kulinarischen und linguistischen Spezialitäten, platonischer Romanze unter Postbeamten, die das Kind im Manne ausleben, und weich gezeichnetem Werbespot für Boons Heimatregion Nord-Pas-de-Calais, in der es sogar einen Strand gibt und die Menschen total nett sind. […] (Critic, 12.10.2008)

Bienvenue chez les Sch’tis

[…] Le film est un mélange d’un cours instructif sur des spécialités culinaires ainsi que linguistiques, d’une idylle platonique entre des employés des postes vivant l’enfant qui sommeille en tout homme et d’un spot publicitaire stylisé pour la région natale de Boon, le Nord-Pas-de-Calais, dans laquelle l’on peut même trouver une plage et des gens bien sympa. […]


Pistes de réflexion / Denkanstöße

„Bienvenue chez les Ch’tis“ a rencontré un très grand succès auprès du public en France avec plus de 20 millions d’entrées. Le film montre une société loin de la suppression d’emplois, de la diminution des transferts sociaux et de la sous-traitance des entreprises. Il rappelle une idylle d’autrefois. Est-ce que vous pouvez vous expliquer ce grand intérêt au film ? Peut-il avoir un rapport avec notre désir d’un ralentissement face à un monde globalisé ?

„Willkommen bei den Sch’tis“ war in Frankreich mit mehr als 20 Mio. Kinobesuchern ein großer Erfolg. Der Film zeigt eine Gesellschaft fernab von Stellenabbau, Kürzungen von Sozialleistungen und dem Outsourcing von Unternehmen. Er erinnert an eine vergangene Idylle. Könnt ihr euch das große Interesse am Film erklären? Steht es vielleicht in Zusammenhang mit unserem Wunsch nach Entschleunigung angesichts einer globalisierten Welt?

Pour ceux qui ont vu le film dans les deux langues: Est-ce que la version allemande du dialecte des ch’tis est une réussite?

Für diejenigen, die den Film in beiden Sprachen gesehen haben: Findet ihr die deutsche Version des Sch’tis-Dialekts gelungen?